L'association «Choisir Sauvian» a pour objet de défendre l'intérêt général des sauviannais(es) dans le cadre de réflexions
liées aux politiques publiques de la commune.
Son but est de créer l'émergence d'une politique locale centrée sur l'intérêt commun
en vue de construire une alternative fidèle avec l'esprit et le projet incarnés par son équipe lors des prochaines élections
municipales et celles qui en découlent pour la Communauté d'Agglomération Béziers-Méditerranée.
L'association est ouverte à tous, sans condition ni distinction.
Jacques Nain et l'équipe CHOISIR SAUVIAN vous invitent à suivre La 6006 : dixième étape Montélimar (26) - Avignon (84) 87km2019-06-30 12:21
La 6006 suite
Dixième étape Montélimar (26) – Avignon (84) 87km
Avec nos sincères remerciements à Jacky, Jacques Degauchy
pour l'ensemble de ses commentaires sur son périple culturel
Un véritable échantillon de voyages sportifs qui pourraient être proposés à Sauvian après les municipales de 2020 par l'équipe CHOISIR SAUVIAN, notamment dans un suivi ludique pour les élèves de nos écoles et/ou pour dynamiser le Comité de jumelage.
Oui ! À Sauvian, une autre politique municipale est possible.
Viviers :
L’hôtel de Lestrade ou maison de Lestrade ou encore maison Mompar est une demeure médiévale (XIIe-XIIIe siècles). Elle se trouve dans la ville basse sur la place de la République, ancienne place du Marché, que bordent deux autres édifices remarquables : la maison Faugergues et la maison Montargues. Cet hôtel a été la mairie de Viviers pendant près de deux siècles, de 1767 à 1947.
Un ensemble de peintures murales, réalisées vers 1290-1305, a été découvert en 1978 dans la salle principale du premier étage de la maison. Il représente la parabole de l'Enfant prodigue; alors que ce thème a été souvent choisi par la sculpture de cette époque, il s'agit de la seule représentation peinte. Les peintures sont organisées en tableaux rectangulaires placés entre deux bandes décoratives.
Le vieux pont Romain de Viviers :
À Viviers, sur la D 86, qui enjambe la rivière l'Escoutay, il existe un très vieux pont encore en service, de 100 m de longueur, qui porte de nombreuses traces de restauration. C'est un pont romain. Aujourd’hui ce pont comporte onze arches, à l’origine il pouvait en exister douze ou treize.
Huguette Galmiche : née Huguette Clerc en 1920 à Paris et morte en 2007, est une mannequin française. Elle est la mère de Johnny Hallyday.
Le 7 septembre 2007, Huguette Galmiche est enterrée, au côté de son époux, au cimetière de Viviers.
Donzère :
La villa viticole du Molard est considérée comme la « plus grande exploitation viti-vinicole connue du monde méditerranéen antique ». Elle s’étendait sur deux hectares. L’entrepôt des vins de 70 × 15 m contenait deux travées abritant 204 dolia disposés en six alignements ayant chacune une contenance de 1,2 hectolitre. À chaque extrémité, un grand fouloir de 18,5 m2, y étaient adjoints deux pressoirs.
L’exploitation, qui a été datée entre 50 et 80 de notre ère, produisait 2 500 hectolitres de vin par an. Le rendement des vignes romaines ayant été estimé à 12 hl/ha, le domaine possédait 300 hectares ce qui nécessitait le travail de 150 esclaves.
Tout ou partie de sa production fut expédiée par le Rhône en tonneaux, à l’exemple de la scène représentée sur la stèle de Saint-Pierre-ès-Liens de Colonzelle (1er siècle). Située sur le porche d’un prieuré clunisien, elle représente le levage de quatre tonneaux et leur embarquement sur un navire marchand.
Saint-Paul-Trois-Châteaux :
Centrale nucléaire du Tricastin :
La centrale nucléaire du Tricastin se situe sur le site nucléaire du Tricastin sur la commune de Saint-Paul-Trois-Châteaux. C'est la troisième centrale la plus âgée du parc nucléaire français.
La centrale nucléaire du Tricastin a été construite en 1974, puis mise en service en 1980 (T1 & T2) et 1981 (T3 & T4). Elle comprend quatre réacteurs à eau pressurisée (REP) de 900 MW chacun, soit une puissance totale de 3 600 MW pour la centrale. La superficie du site est de 55 hectares.
Le 15 juillet 2013, plusieurs dizaines de militants de Greenpeace se sont introduits dans la centrale nucléaire de Tricastin pour réclamer la fermeture du site.
Le 17 septembre 2013, Europe Écologie-les Verts a réclamé la fermeture en urgence de la centrale.
Elle est exposée au risque de séisme. Lors de sa conception, c'est un séisme de 4,7 sur l'échelle de Richter qui a été choisi comme référence, et les installations sont donc prévues pour résister à un séisme de 5,2. Elle se trouve dans un grand complexe nucléaire et chimique comprenant six sites Seveso dans un rayon de 10 km.
Henri Becquerel :
Antoine Henri Becquerel (15/12/1852, Paris - 25/08/1908, Le Croisic) est un physicien français.
En 1896, Becquerel découvre la radioactivité par hasard, alors qu'il fait des recherches sur la fluorescence des sels d'uranium.
En 1897, Marie Curie choisit ce sujet pour sa thèse de doctorat. Elle révèle les propriétés ionisantes de ce rayonnement puis, avec son époux Pierre Curie, découvre les éléments chimiques qui en sont à l'origine. Elle rebaptise cette propriété radioactivité.
En 1903, après la découverte du polonium et du radium par Marie et Pierre Curie, Becquerel reçoit la moitié du prix Nobel de physique (l'autre moitié est remise aux époux Curie) « en reconnaissance des services extraordinaires qu'il a rendus en découvrant la radioactivité spontanée.
Par ailleurs, l'unité physique de la radioactivité, le becquerel (Bq) fut nommée en son honneur.
Marie Sk?odowska-Curie : née le 7 novembre 1867 à Varsovie, et morte le 4 juillet 1934 au sanatorium de Sancellemoz situé à Passy (Haute-Savoie), est une physicienne et chimiste polonaise, naturalisée française.
Scientifique d'exception, elle est la première femme à avoir reçu le prix Nobel, et à ce jour la seule femme à en avoir reçu deux. Elle reste à ce jour la seule personne à avoir été récompensée dans deux domaines scientifiques distincts.
D'abord inhumée à Sceaux dans le caveau de la famille Curie, ses restes ont été transférés avec ceux de son mari Pierre Curie au Panthéon le 20 avril 1995, sur décision du président François Mitterrand et en présence du président polonais Lech Wa??sa. Elle est, jusqu'en 2014, la seule femme honorée au Panthéon pour son mérite propre. Conséquence de ses travaux sur les éléments radioactifs, son corps momifié est placé dans un cercueil contenant une couche de plomb de 2,5 mm d'épaisseur.
Bollène :
Louis Pasteur y vécut (maison achetée en 1882).
Louis Pasteur né à Dole le 27/12/1822 et mort à Marnes-la-Coquette le 28/09/1895, est un scientifique français, chimiste et physicien de formation. Pionnier de la microbiologie, il connut, de son vivant même, une grande notoriété pour avoir mis au point un vaccin contre la rage.
La découverte du vaccin antirabique (1885) vaudra à Pasteur sa consécration dans le monde : il recevra de nombreuses distinctions. L'Académie des sciences propose la création d'un établissement destiné à traiter la rage : l'Institut Pasteur naît en 1888.
Louis Pasteur déposa le 11 avril 1865 un brevet pour un procédé de conservation du vin par chauffage qui fut immédiatement appliqué au traitement de la bière. C’est de son nom que vient le terme pasteurisation. La pasteurisation du vin fut abandonnée à l'époque de la crise du phylloxéra, vers la fin du XIXe siècle.
La découverte de la pasteurisation vaudra à Pasteur le Mérite Agricole, mais aussi le Grand Prix de l’Exposition universelle (1867).
Mornas :
Les guerres de Religion y furent particulièrement tragiques, notamment en inaugurant les fameuses "pertuisanades" : en 1562, les calvinistes du marquis de Montbrun s'emparèrent du château, massacrèrent femmes et enfants et précipitèrent la garnison du haut des remparts sur les hallebardes hérissées en contrebas ; il y eut un seul rescapé à qui l'on fit grâce. En 1568, la ville ayant été reprise par François de La Baume, le même sort fut réservé à la garnison protestante.
La forteresse de Mornas se dresse sur un éperon rocheux de la rive gauche du Rhône, elle domine le village de Mornas, établi à son pied, et les environs. Elle eut une importance majeure de l'Antiquité à la Révolution française, à partir de laquelle elle tomba en ruine. Elle fut redécouverte dans le dernier tiers du XIXe siècle et fait depuis 1978 l'objet de nombreuses rénovations par les Amis de Mornas, association de conservation du patrimoine.
Orange :
En 105 av. J.-C., des hordes de Teutons et de Cimbres y écrasent les légions romaines dans la bataille appelée bataille d'Orange.
La ville est fondée en 35 av. J.-C. par les vétérans de la deuxième légion gallique sous le nom de Colonia Julia Secundanorum Arausio dans le territoire de la tribu gauloise des Tricastini.
La ville est influencée par la culture gallo-romaine et l'on voit s'élever de grands monuments tels que le théâtre antique, renommé pour sa qualité acoustique, et l'arc de triomphe, l'un des mieux conservés au monde. La ville s'entoure d'une enceinte qui englobe environ 70 ha. Elle commande un vaste territoire que les arpenteurs romains cadastrent avec précision. Des lots fonciers sont attribués en priorité aux vétérans ; d'autres, plus médiocres, sont donnés en location ; d'autres encore restent propriété de la collectivité. Ainsi sont facilitées la colonisation et la mise en valeur du sol, au détriment des autochtones. Jusqu'en 412, date du pillage de la cité par les Wisigoths, Orange connaît une existence prospère et devient siège d'un évêché.
C'est ainsi que des découvertes archéologiques continuent de se faire grâce aux fouilles liées aux travaux sur la commune. Les dernières ont révélé au nord de la commune une nécropole qui a fait l'objet d'une exposition au musée municipal et des maisons romaines furent cartographiées grâce au projet immobilier lié à l'arc de triomphe.
Depuis 1981, plusieurs monuments d'Orange sont inscrits au répertoire des monuments mondiaux de l'UNESCO : « Le Théâtre antique et ses abords et «L’Arc de Triomphe ».
L’Arc de Triomphe d’Orange : est un arc monumental romain du début du 1er siècle, qui marque l'entrée nord d'Arausio (aujourd'hui Orange) sur la Via Agrippa (la route nationale 7).
L'arc a probablement été érigé entre les années 20 et 25, pour commémorer les victoires de Germanicus, mort en 19, et possiblement « restitué » à Tibère en 26/27, selon l'interprétation que l'on donne à la dédicace ajoutée à cette date sur les deux faces du monument.
Au Moyen Âge, le monument fut fortifié pour servir de bastion avancé, à l'entrée de la ville.
Thierry Mariani : né le 08/08/1958 à Orange, est un homme politique français.
Il est notamment député de Vaucluse puis des Français de l’étranger entre 1993 et 2017, ainsi que secrétaire d'État puis ministre des Transports de 2010 à 2012.
Longtemps engagé à droite, il est élu au Parlement européen sur la liste du Rassemblement national aux élections européennes de 2019.
Avignon :
Surnommée la « cité des papes » en raison de la présence des papes de 1309 à 1423.
C'est l'une des rares villes françaises à avoir conservé ses remparts et son centre historique, composé du palais des papes, de l'ensemble épiscopal, du rocher des Doms et du pont d’Avignon. Elle a été classée patrimoine mondial de l'UNESCO.
La renommée de son festival, le plus grand du monde et véritable vitrine artistique et culturelle de la ville, a largement dépassé les frontières françaises. La ville fut capitale européenne de la culture en 2000.
Le Pont Saint-Bénézet : couramment appelé Pont d'Avignon, est un vestige de pont sur le Rhône composé de quatre arches.
Un nommé Bénézet serait à l'origine de la construction de l'ouvrage en 1177 sur des restes de culées romaines. A son achèvement en 1185, 22 arches enjambaient le Rhône en formant une courbe de 920 mètres de long pour une largeur de 4 mètres.
Trop étroit pour permettre aux charrettes de se croiser, il n'a jamais pu être utilisé à de pures fins commerciales. Le transport de marchandises dut être assuré par barque ou par barge.
En revanche, il permettait de contrôler efficacement le trafic et prélever les droits de péage, conformément au rôle de poste-frontière entre l'État pontifical et le Royaume de France qui lui était dévolu.
Endommagé tant par les crues que par les guerres, l'ouvrage fut reconstruit plusieurs fois.
Son entretien, fort coûteux à longue, explique qu'il ait été décidé de le laisser à l'abandon.
Le Palais des papes d'Avignon est la plus grande des constructions gothiques du Moyen Âge.
À la fois forteresse et palais, la résidence pontificale fut pendant le XIVe siècle le siège de la chrétienté d'Occident. Six conclaves se sont tenus dans le palais d'Avignon qui aboutirent à l'élection de Benoît XII, en 1335 ; de Clément VI, en 1342 ; d'Innocent VI, en 1352 ; d'Urbain V, en 1362 ; de Grégoire XI, en 1370, et de Benoît XIII, en 1394.
Le palais, qui est l'imbrication de deux bâtiments, le palais vieux de Benoît XII, véritable forteresse assise sur l'inexpugnable rocher des Doms, et le palais neuf de Clément VI, le plus fastueux des pontifes avignonnais, est non seulement le plus grand édifice gothique mais aussi celui où s'est exprimé dans toute sa plénitude le style du gothique international. Il est le fruit, pour sa construction et son ornementation, du travail conjoint des meilleurs architectes français, Pierre Peysson et Jean de Louvres, dit de Loubières, et des plus grands fresquistes de l'école siennoise, Simone Martini et Matteo Giovanetti.
De plus la bibliothèque pontificale d'Avignon, la plus grande d'Europe à l'époque avec 2 000 volumes, cristallisa autour d'elle un groupe de clercs passionnés de belles-lettres dont allait être issu Pétrarque, le fondateur de l'humanisme. Tandis que la chapelle clémentine, dite Grande Chapelle, attira à elle compositeurs, chantres et musiciens.
Le Festival d'Avignon est la plus importante manifestation de théâtre et de spectacle vivant du monde, par le nombre de créations et de spectateurs réunis.
Fondé en septembre 1947 par Jean Vilar avec l'aide précieuse de Jean Rouvet, sur la suggestion du marchand de tableaux Christian Zervos, ce festival des arts du spectacle est considéré comme le plus ancien et le plus célèbre de France. À l'origine simple Semaine d'art dramatique offrant alors trois créations dans trois lieux scéniques différents, cet événement devient en juillet 1948 le Festival d'Avignon.
La Cour d’honneur du palais des papes est le berceau du Festival qui investit plus de 30 lieux de la ville, et sa région, dans des ouvrages d'art mais aussi des gymnases, cloîtres, chapelles, jardins, carrières, églises.
À demain pour la onzième étape Avignon (84) - Pertuis (84) 78 km
Oui ! À Sauvian, avec Jacques Nain et l'équipe CHOISIR SAUVIAN, une autre politique municipale est possible !
Sauvian : Jacques Nain est le suppléant d’Emmanuelle Ménard.
Biterrois : le suppléant d'Emmanuelle Ménard se lance pour les municipales à Sauvian.
En 2020 à Sauvian, Jacques Nain affrontera le maire sortant, Bernard Auriol.